1ère partie

Fermer 01 Médiation familiale

Fermer 02 Echec monoparental

Fermer 03 Emprises sectaires

Fermer 04 L'enfance maltraitée

Fermer 05 Parentalité

Fermer 06 Jeunesse

Fermer 07 Sectes nocives

Fermer 08 Difficultés de justice

Fermer 09 UNADFI

Fermer 10 Partenaires

2ème partie

Fermer 01 Comité parental

Fermer 02 Enfants du divorce

Fermer 03 Médiation familiale

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Nouvelles

Alice Miller - par RPE le 09/12/2014 @ 18:21

Extrait du livre Abattre le mur du silence d'Alice Miller (p. 115)

« Le danger ne vient pas d'individus isolés, même s'ils sont des criminels : il réside bien davantage dans l'ignorance de toute la société, qui conforte ces individus dans les mensonges peu à peu instillés dans l'enfance. Les représentants bien considérés de la société – enseignants, juristes, médecins, travailleurs sociaux, prêtres – protègent les parents contre tout reproche de l'enfant maltraité, et mettent sous le boisseau la vérité sur les mauvais traitements infligés aux enfants. »
Alice Miller

 


 


D'une enfant pour les enfants - par naomi le 09/12/2014 @ 16:49

D’UNE ENFANT POUR LES ENFANTS    
 
J’ai 15 ans et ces enfants désespérés ce sont tournés vers moi, j’ai entendu les pleurs auxquels les psychologues tout comme les adultes en général sont imperméables. 

Quand on prend en considération le nombre d’enfants issus du divorce qui par ce fait présentent des pertes de repères, dues a un manque de soutien, d’écoute. Cela les pousse vers un referment néfaste,  une perte de confiance totale vis-à-vis  des adultes et ils se font autodidactes.

Ce nombre est en constante augmentation par le simple fait que les parents tout comme le gouvernement n’ont pas eu (au départ) pour priorité le bien être des enfants.

Les conséquences sont gravissimes pour la santé mentale et physique des enfants : des jeunes filles à peine pubères se retrouvent victimes d’un réseau de pédophilie par le biais d’internet de plus en plus répendu (plus de la moitié des filles d’un collège ont déjà au moins une fois pris des photographies à caractère pornographique ou se sont déshabillées devant une caméra).

N’ayant  aucun respect pour elles-mêmes beaucoup  possèdent des blogs où elles commentent leurs ébats et posent presque nues. Elles se laissent injurier, abuser par les jeunes de leur âge, profitant de cette déstabilisation ou pensant cela normal étant donné la réalité qui les entoure.

Je veux attirer votre attention sur le fait que de plus en plus tôt des jeunes filles ont des pratiques sexuelles destructrices et violentes avec des hommes qui se jouent d’elles. Ces jeunes personnes  deviendront des adultes déboussolées, incapables d’avoir elles-mêmes des relations familiales stables.

Une autre facette du phénomène est le penchant de certains de ces enfants fragiles pour l’auto-destruction de ce corps qu’ils répugnent, qui les oblige à supporter le monde déplorable qui les entoure. Ils se rabattent alors vers le suicide ou les violences physiques, verbales sur eux-mêmes. Cela amplifié par des sites morbides prônant la mutilation, le sang, la chair comme libération.

Je ne tiens en aucun cas pour seuls responsables les parents, la société actuelle étant aussi en cause, car fermant les yeux sur ce cauchemar. On ne peut plus le nier, il existe, ce mal être infantile, or combien d’appels au secours devra-t-on vous lancer pour que vous réagissiez ?

Allez-vous continuer à avancer en marchant sur les enfants ? 


 



L'Enfance - par cati le 28/11/2009 @ 16:04

L'Enfance


Le déséquilibre actuel des relations d' Enfants  devenus adultes, est un mal-être qui se perpétue ...

 Enfant, Je t'avais donné ma confiance, Tu usais de mon innocence ! dans l'Enfance, ainsi, Tu abusais d'autorité, Tu disais que c'était pour m'aider, adulte Tu voulais me mouler en m'empêchant d'analyser ... liberté d'Aimer bafouée !

Adulte, Tu m'as fais perdre l'innocence, je dois retrouver ma confiance pour l'Enfance, car il n'y a plus de dignité, notre coeur est trop bien moulé, l'argent nous a fait oublier toutes les richesses de partager ... en vérité pour Aimer ;  

Pitié, il faut arrêter les souffrances, pour les Enfants du monde entier, bienveillance ! Par Amour enfin retrouver l'innocence, donnons-nous une seule chance, de pouvoir être, et respectés, par les Enfants du monde entier ... Vivons le verbe partager .

Chers adultes déchirés, la cause des Enfants est la raison de notre existence, et la seule solution à tous les maux de notre planète, et du bonheur de vos vies.



Propositions de loi sur la Résidence alternée - par Assemblee_Nationale le 09/10/2009 @ 23:03

 Résidence Alternée

Trois propositions de lois sur la famille ont été déposées par les députés à l’Assemblée Nationale afin d'encadrer nos relations judiciaires de parents avec nos enfants.

Deux d'entre elles sont favorables aux responsabilités parentales, mais une tente de s’opposer à la Résidence Alternée que dans les associations parentales nous considérons comme un gage d’équilibre pour les enfants.

Sur le site de l’assemblée nationale :

 Proposition de loi visant à privilégier la résidence alternée pour l’enfant dont les parents sont séparés, n° 1531
 Proposition de loi de M. Christian Ménard et Mme Henriette Martinez et plusieurs de leurs collègues visant à protéger l’intérêt de l’enfant dont les parents sont séparés (contre la résidence Alternées). n° 1611  
 Proposition de loi visant à préserver l’autorité parentale partagée en cas de séparation des parents, n° 1710

 


 


Réseau et médiation familiale - par Réseau le 02/09/2009 @ 11:20

La pratique de la médiation familiale en France

(Publié le 20/9/2006 dans Big Annuaire)
La médiation familiale  est née en France dans le début des années quatre-vingt. Elle s’est développée à l’initiative de réseaux associatifs spontanés, jusqu'à ce que la loi du 8 février 1995 et son décret de juillet 1996 introduisent la médiation comme un des modes de règlement des litiges réservés dans les tribunaux aux matières pénales. A cause de cela, la médiation familiale, a dû attendre les lois du 4 mars 2002, relative à l’autorité parentale et celle du 26 mai 2004, relative au divorce. Les nouvelles lois introduisent la médiation familiale de manière probante dans le code civil. La place est ainsi faite, à la médiation familiale, parmi les recours à disposition des publics fragilisés par les divorces et séparation. Toutefois les pouvoirs publics viennent seulement de reconnaître la profession de médiateur familial, le débat date pourtant de vingt annés. Les premiers médiateurs familiaux que la France a connu, qui auront permis à la profession d'obtenir des lettres de noblesse, seront-ils disparus quand la profession se sera établie ? Trouver à l'amiable les modalités d'une séparation, quand il y a des enfants, ce n'est pas tout simple. La médiation familiale hors judiciaire est une bonne solution. Il ne s'agit pas d'une thérapie familiale ou individuelle, mais d'entretiens (un dizaine en général) qui permettent de discuter devant un tiers et de régler concrètement les problèmes les uns après les autres. Le médiateur familial peut aider à trouver des solutions équitables pour l'exercice de l'autorité parentale, l'organisation du plan d'accueil et d'hébergement adapté pour les enfants, l'implications équitable des parents dans l'entretien et l'éducation des enfants.
La rupture du lien conjugal, souvent génératrice de conflits, se termine encore trop souvent devant les tribunaux. Mais les choses changent. L'appareil judiciaire lui-même délègue aux médiateurs familiaux de recevoir les couples et les parents en difficultés. Des listes de médiateurs familiaux sont diffusées par les greffes des tribunaux, déjà depuis 1994. La médiation familiale propose bien autre chose qu'une alternative à l’escalade judiciaire, car elle peut être associée à un soutien de la parentalité et à une étude sérieuse des besoins des enfants. Visitez aussi
http://www.interpc.fr/papa/CondPat/Mediatio.html et http://sos-enfants-du-divorce.fr.

 

 


 

 


Reseau Parental et résidence alternée - par Reseau le 06/12/2004 @ 04:00

Un article du Réseau résume les avancées de la loi depuis 1987 en faveur de la résidence alternée.  

Les textes applicables en cas de séparation, et prévoyant la résidence alternée
 

Article 373-2 Code civil
« La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l'exercice de l'autorité parentale.
Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l'enfant et respecter les liens de celui-ci avec l'autre parent …».

Article 373-2-9 Code civil
« En application des deux articles précédents, la résidence de l'enfant peut être fixée en alternance au domicile de chacun des parents ou au domicile de l'un d'eux.
A la demande de l'un des parents ou en cas de désaccord entre eux sur le mode de résidence de l'enfant, le juge peut ordonner à titre provisoire une résidence en alternance dont il détermine la durée. Au terme de celle-ci, le juge statue définitivement sur la résidence de l'enfant en alternance au domicile de chacun des parents ou au domicile de l'un d'eux.
Lorsque la résidence de l'enfant est fixée au domicile de l'un des parents, le juge aux affaires familiales statue sur les modalités du droit de visite de l'autre parent. Ce droit de visite, lorsque l'intérêt de l'enfant le commande, peut être exercé dans un espace de rencontre désigné par le juge. »

Article 373-2-10 Code civil
« En cas de désaccord, le juge s'efforce de concilier les parties.
A l'effet de faciliter la recherche par les parents d'un exercice consensuel de l'autorité parentale, le juge peut leur proposer une mesure de médiation et, après avoir recueilli leur accord, désigner un médiateur familial pour y procéder.
Il peut leur enjoindre de rencontrer un
médiateur familial qui les informera sur l'objet et le déroulement de cette mesure. »

Article 373-2-11 Code civil
«  Lorsqu'il se prononce sur les modalités d'exercice de l'autorité parentale, le juge prend notamment en considération :
1° La pratique que les parents avaient précédemment suivie ou les accords qu'ils avaient pu antérieurement conclure ;
2° Les sentiments exprimés par l'enfant mineur dans les conditions prévues à l'article 388-1 ;
3° L'aptitude de chacun des parents à assumer ses devoirs et respecter les droits de l'autre ;
4° Le résultat des expertises éventuellement effectuées, tenant compte notamment de l'âge de l'enfant ; 
5° Les renseignements qui ont été recueillis dans les éventuelles enquêtes et contre-enquêtes sociales prévues à l'article 373-2-12. »

 


 





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